Si tu vis dans l'ombre, tu n'approcheras jamais le soleil

**Jacques Mesrine** Dim 18 Jan - 2:00

On a armé ma main au son de la Marseillaise et cette main a pris le goût de l'arme.

Jacques Mesrine était installé confortablement dans un vieux siège troué de part et d'autre.Ses mains dans le dos, il était menotté.
Face a lui, le patron d'un commissariat très connu a Paris. Derrière, quatre vigiles.
Sans aucun doute, Mesrine était dans une situation de difficulté. En effet, plus tot dans la journée il avait voulu braquer une petite banque pour se "dégourdir les jambes" mais cette opération avait foiré dès lors que le patron de la banque avait appelé les flics. Quant ce banquier était entrain de faire l'erreur de sa vie, Jacques s'occupait de vider le coffre donc n'avaient pas entendu les flics arrivés. Ces derniers l'avaient donc attrapé sans trop de difficulté, l'avaient emmené au commissariat , avaient tentés de le questionner mais évidemment Mesrine n'avait pipés mots.

Dans 10min, on emmènerait le gangsta devant la Justice.
Ces minutes s'écoulèrent bien trop vite au gout de Jacques. Cependant il avait un plan dans la tête ...
Il fut emmené au tribunal, arrivé là bas Mesrine demanda d'aller aux toilettes. les flics acceptèrent après un instant de réflexion et surtout après la phrase que Jacques avaient dit qui était: " vous voulez peut etre que j'aille poser ma peche sur le bureau du Juge? ".Ils lui enlevèrent donc les menottes en se disant qu'ils n'avaient pas le choix.
Jacques entra dans la cabine, releva le boitier de la chasse d'eau et y prit un flingue qui y était caché.Un ami a lui avait vu toute l'arrestation et avait envoyé un message codé a Mesrine pour lui dire qu'il l'aiderait. Il avait donc infiltré le flingue dans cette toilette. Jacques glissa l'arme dans l'arrière de son pantalon et était sorti comme si de rien n'était.
Il se fit emmené dans la pièce où le Juge l'attendait avec des avocats, des flics, et des témoins. Jacques, un sourire sur les lèvres, ne fit aucun geste dans les premières minutes, installé sur son siège. le Juge déclara donc le verdict après un long moment de discussion avec ses collègues.
- Monsieur Jacques René Mesrine, 20ans de prison pour votre cavale alors que les policiers étaient a vos trousses et pour les nombreuses banques que vous avez braqués sans pitié. Sans compter le nombre incroyable d'armes que vous portez constamment sur vous et surtout ... les aggressions que l'on ne compte plus et puis les meurtres.
l'ennemi public ne put réprimer un rire qui ennerva le Juge.Ce dernier dit d'une voix légèrement irritée:
- Qu'avez vous Mesrine?
Jacques se leva, le regarda dans les yeux et répondit:
- Alors d'abord, pour les armes. Un sentiment byzarre d'insécurité m'a assaillis face a vos autorités. C'est donc pour ça que je suis,comme vous le dites si bien," constamment armés ". Ensuite, foutez moi au fond du trou autant de fois que vous voudrez mais je m'évaderais toujours! Sa vous pouvez compter sur moi! Et pour finir ...
Il sortit d'un geste brusque son flingue et gueula:
- MAINTENANT FINI DE JOUER! MAINS AU DESSUS DE lA TETE ET PAS UN GESTE!
les gens qui s'étaient agités s'arrétèrent brusquement, le coeur battant a toute vitesse.
Mesrine s'adressa d'une façon très autoritaire au flic qui était derrière lui:
- TOI! Détaches moi! Tout de suite!
le flic lui enleva les menottes, Mesrine sauta par dessus la rembarde et s'avança vers le Juge qu'il prit en otage, le flingue sur la tempe.
- Un seul de vous qui bouge et je le fume!
Jacques recula alors très vite vers la sortie, puis avant de quitter le batiment lacha le Juge et courut le plus vite possible vers une voiture stationné dans laquelle son pote qui l'avait aidé l'y attendait. Il entra dans cette dernière et la bagnole démarra aussitot, moteur a fond.
S'engagea alors une grande course poursuite dans les rues de Paris. la voiture de Mesrine menant cette poursuite. Jacques ouvrit la fenetre et réussi a creuver les pneus de la bagnole de flic qui était juste derrière mais reçut une balle dans le bras et une autre dans l'épaule.Cependant il put semer ses adversaires et parvint 15min plus tard a son repère sans etre suivit.
Il descendit de la voiture, le sang de son bras coulant a flot sur le sol. Il ouvrit la porte de son appartement et s'effondra sur le canapé tout en disant a son pote qui l'avait aidé:
- Appelles Striko
En effet, il savait que ce dernier était doué pour enlever les balles du corps.

**Célia Moldon** Lun 19 Jan - 0:30

Striko était dans la rue à la recherche de nouveaux plans braquages ou autres trucs à faire pour gagner de l'argent, il vit une petite auberge qui avait la réputation d'avoir beaucoup de recettes. Il allait entrer dans celle ci, les armes aux poings avec ces hommes mais recut un coup de fil. Il leva la main pour prévenir que l'intervention était suspendue pour un petit moment et leurs fit signe de se replier dans une petite rue sombre pour ne pas se faire voir des flics ou même qu'un passant avertisse les flics en voyant les hommes cagoulés et armés jusqu'au dents. Il se promit détriper la personne qui l'appellait si elle n'avait pas une bonne raison de le faire. Il prit le téléphone et dit agressivement:

-Si t'as pas une bonne raison de m'interrompre t'es mort!

**Jacques Mesrine** Lun 19 Jan - 0:35

le gars de Mesrine dit d'une voix un peu précipitée:
- Excuses moi de te déranger Striko, c'est Joker. Jacques a reçut deux balles et il m'a dit de t'appeler pour que tu viennes.

Pendant ce temps, Mesrine perdait son sang. Il avait quand meme enlevé son haut et enrouler un bandage tout le long de son bras.

**Célia Moldon** Lun 19 Jan - 0:38

Striko dit en chipant:

-Bon j'arrive dans 5 min!

Il raccrocha apres que Joker lui donne l'adresse et expliqua à ses hommes de s'amuser sans lui mais de tuer le moins de gens possible. Pendant ce temps celui ci partit sans un mot

**Jacques Mesrine** Lun 19 Jan - 0:42

Joker avait raccroché et était partie surveiller la fenetre avec un sniper pour surveiller toute la rue avec une vue.

Jacques était toujours sur son fauteuil, il avait dit a son pote de le laisser jusqu'a ce que Striko arrive.

**Célia Moldon** Lun 19 Jan - 0:43

Striko arriva et toque plusieurs fois sur la porte dans un rythme qui était le code pour rentrer. Joker lui ouvrit et le guida jusqu'à Mesrine. Striko dit:

-Alors chérie t'a besoin de moi une nouvelle fois^^

**Jacques Mesrine** Lun 19 Jan - 0:45

Jacques fit un sourire qui ressemblait plutot a une grimace. Son bandage était déja tout rouge de sang.Il dit d'une voix froide a cause de la douleur:
- Ces chiens ne m'ont pas loupé ...

Joker retourna a son poste.

**Célia Moldon** Lun 19 Jan - 0:54

Striko s'occupa directement de Mesrine, il fit un garot à celui ci puis s'occupa de retirer les balles du corps de son pote, il dit:

-Ca tu peux le dire, heureusement que j'ai des doigts des fées pour te soigner

**Jacques Mesrine** Lun 19 Jan - 13:39

Jacques fit un sourire, ne redoutant plus la douleur. Il dit:
- Merci ma belle

Au bout d'un moment, Joker se retourna et dit d'une voix précipitée:
- Chef on a un problème

Mesrine porta son regard sur la fenetre où était installé son gars et dit:
- Qu'est ce qui se passe?

Joker répondit:
- les flics sont devant l'appart'

**Célia Moldon** Lun 19 Jan - 23:30

Striko se leva et laissa Mesrine seul un instant, il alla vérifier par lui meme et vit plusieurs flics entourant l'immeuble. Il chipa et dit:

-T'as des munitions ici?

**Jason Short** Lun 19 Jan - 23:33

Jacques rigola et répondit:
- Tu me crois pour qui?! Biensur que j'en ai, j'en ai toujours. Dans toutes les armoires des pièces ia toutes les armes inimaginables!

**Célia Moldon** Lun 19 Jan - 23:45

Striko sourit et dit en regardant dans les armoire et en prenant un fusil à pompes:

-Toi tu sais!

**Jason Short** Lun 19 Jan - 23:47

Jacques se leva et attacha une ceinture d'arme autour de sa taille. Donc il était armé en tout de 4flingues, sans compté une grenade qu'il avait caché dans sa chaussette.

**Célia Moldon** Lun 19 Jan - 23:54

Striko s'arma de couteau, préférant le corps à corps plutot que le combat à distance

**Jason Short** Lun 19 Jan - 23:59

Malgré son bras en moins, Jacques avait plus que jamais envie de meurtre

**Célia Moldon** Jeu 22 Jan - 14:24

Striko se mit à la fenètre de l'appartement et tira dans le tas des flics tout en dissimulant son visage

**Jacques Mesrine** Jeu 22 Jan - 14:40

les flics tirèrent a leur tour en fraccassant toutes les vitres. Certains d'entre eux montèrent dans l'appartement, Jacques alla s'occuper d'eux pendant que Joker cachait tous les papiers, drogues, et les armes.

**Célia Moldon** Jeu 22 Jan - 23:10

Striko continuait de s'occuper des flics dehors puis quand ils n'y en a pu se jeta dans le tas de ceux dans l'appartement, les abbattant avec un sourire glaciiale et effrayant

**Jacques Mesrine** Ven 23 Jan - 0:42

Jacques faisait perdre la vie a des dixaines de flics. Puis, surement perdu dans le feu de l'action,il tira sans faire expres une balle dans une femme qui était sorti de l'appartement sous le vacarme. Mesrine, qui ne respectait pas les femmes se contenta de sourire et de redoubler ses tirs.

**Célia Moldon** Ven 23 Jan - 1:25

Striko vit le geste de Mesrine et gueula:

-Putain man pas les meufs!

**Jacques Mesrine** Ven 23 Jan - 14:35

Jacques, en continuant de tirer, dit d'une voix forte:
- On s'en fout on la connait pas fils!

Quelques minutes plus tard, un petit âgé de 5ans sortit de l'appartement. Il vit sa mère par terre et , ayant toujours sa main sur la poignée de la porte, fit une petite bouille très triste et pleura en répétant " ma..man ... maman ... "

**Célia Moldon** Ven 23 Jan - 17:56

Striko blémit en voyant le petit, il regarda sa mere morte et le prit dans ses bras pour le consoler, laissant à Mesrine la bataille

**Jacques Mesrine** Ven 23 Jan - 17:58

Jacques regarda Striko l'espace d'une seconde et gueula :
- Oh qu'est ce que tu fous??

le petit se blottit dans les bras de Striko, les larmes coulant a flots sur ses joues il sanglota:
- Ma...man ... Elle est ... pa .. partie

**Célia Moldon** Ven 23 Jan - 18:02

Striko foudroya Mesrine du regard et dit:

-Je fais ce que j'ai à faire!

Il adoucit sa voix et dit au petit:

-Elle est partit voir les anges mais elle restera à vie dans ton coeur petit

**Jacques Mesrine** Ven 23 Jan - 18:04

Jacques s'ennerva et tua les derniers flics qu'il restait puis il s'avança a grands pas vers Striko.

le petit continua de sangloter en répondant:
- Je la reverrai plus jamais?

Jacques arriva avec un regard froid et dit a l'adresse de Striko:
- Qu'est ce que tu fous avec ce petit? Ia rien a faire faut le laisser!

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